[...] l'homme, selon Spinoza, n'est qu'une chose singulière, qui rencontre nécessairement des obstacles dans l'exercice de la puissance. Lorsque sa nature triomphe, l'homme fait plier les choses extérieures à son désir — il agit. Mais, lorsque les choses extérieures ont le dessus, le cours des évènements retient leur nature à elles, et l'homme, emporté loin de ce qui lui est utile, contribue à faire des choses qu'il devrait lui-même empêcher — il pâtit.
Baruch Spinoza